mardi 26 février 2008

L'AUTHOPSIE DE ROSWELL / SUPPLÉMENT D'ENQUÊTE

ROSWELL

Qu'est-ce que je pourrais rajouter à cet épisode ufologique qui fut tant décrié par les ufologues eux-mêmes comme étant un des plus grands canular de ces dernières années?
Simplement ceci: À propos du film de Ray Santilli sur une supposée autopsie d'un E-T, les détracteurs prennent pour improbable le fait que le cameraman ait pu garder chez-lui les fameuses bobines de film, malgré le fait qu'il avait averti les autorités qu'il les gardait en sa possession. Comme si l'armée américaine ne pouvait pas faire la moindre erreur, comme si cette armée n'était pas composée d'humains capables de passer outres certains ordres dans un but non avoué de profit personnel ou autre. Sans aucunement vouloir accréditer ou désavouer cette autopsie, j’aimerais porter à votre attention un article paru dans le quotidien québécois LE SOLEIL en date du 07/01/94 qui pourrait faire pencher la balance vers cette possibilité d'une erreur humaine:

SON AMPLIFICATEUR DE 100$ ÉTAIT UN APPAREIL MILITAIRE DE 500 000$

COOLEEMEE, Caroline du nord (AP,AFP)- Roger Spillman a payé 100 $ pour ce qu'il croyait être un amplificateur radio au cours d'une vente aux enchères.Il n'a jamais réussi à faire fonctionner l'appareil et n'a pu obtenir de remboursement.La seule consolation de Spillman est de savoir que son "ampli" aurait pu survivre à une attaque nucléaire.L'amplificateur était en réalité un appareil militaire ultra sensible, d'une valeur de 500 000 $ , faisant partie d'un système global de communication mis au point pour résister à une guerre nucléaire.Ne parvenant pas à le faire fonctionner l'appareil, Spillman avait consulté un radio amateur. Ce dernier, notant que l'amplificateur avait été fabriqué par Raytheon Corp, a contacté la compagnie. Cette dernière a immédiatement prévenue l'armée de l'air, qui recherchait depuis près d'un an l'appareil disparu.En décembre 1992, Raytheon avait envoyé deux amplificateurs à très haute fréquence à la base de McClellan, en Californie. Un seul était parvenu à destination.Plusieurs responsables militaires n'ont pu expliquer comment une pièce aussi sensible avait pu se retrouver dans une vente aux enchères.L'armée de l'air, munie d'une injonction judiciaire, a pu récupérer son précieux amplificateur à la fin de décembre auprès de Spillman, qui attend toujours d'être remboursé.
LE SOLEIL 07/10/94

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