jeudi 3 avril 2008

LOUIS XVII / L'ENFANT DU TEMPLE / DESCENDANTS EN AMÉRIQUE ?

LOUIS XVII dit L'ENFANT DU TEMPLE


L'AUTRE JOUR, SUR LES ONDES DE RADIO-CANADA, J'ENTENDS UN REPORTAGE TRÈS INTÉRESSANT DU JOURNALISTE MARC POIRIER. IL NOUS PARLE D'UN HOMME, CARL NADEAU, QUI SERAIT UN DESCENDANT DIRECT DE LOUIS XVII.
VOUS POUVEZ ENTENDRE CE REPORTAGE À :
EN FOUILLANT DANS MES ARCHIVES, VOICI QUE CE QUE J'AI RETROUVÉ.
Quelle triste histoire que celle de ce petit dauphin. Officiellement il est le fils légitime de Marie-Antoinette et de Louis XVI. Il n'a que 7 ans lorsqu'on l'enferme dans la prison du Temple. Il mourra, toujours officiellement, le 8 juin 1795, à l'âge de 10 ans.

Pourtant ce garçon fera parti des grands mystères de ce monde et nous en parlons encore et toujours aujourd'hui. Voici pourquoi...

Ce 13 août 1792 le maire de Paris, Jérome Pétion, conduit des prisonniers princiers à la prison du Temple. Il s'agit de Louis XVI, sa femme Marie-Antoinette ainsi que le Dauphin. Le 21 janvier 1793, Louis XVI sera guillotiné alors le Dauphin devient Louis XVII. Les traîtrises et les coups bas étaient à l'honneur à cette époque dans ces milieux et de ce fait, on n'hésita pas à séparer l'enfant du reste de sa famille. Un cordonnier, Simon l'éduquera comme un sans-culotte. En 1793, on le fera témoigner contre sa mère Marie Antoinette : inceste, incitation à la débauche, vices en tout genre. Elle sera exécutée le 16 octobre 1793.

L'année 1794 sera déterminante pour l'enfant. Abandonné à son triste sort de prétendant au trône, on ne lui fournit aucun vêtement de rechange et son hygiène personnelle n'est même pas respectée. Pas la moindre lumière extérieure n'atteint sa prison.
LA PISTE ROBESPIERRE (RÉSUMÉ DE INEXPLIQUÉ # 7)
Selon un rapport d'un espion britannique de l'époque, dans la nuit du 23 au 24 mai 1794 Maximilien de Robespierre, cet avocat et représentant de l’extrême gauche démocratique, aurait "kidnappé" le petit dauphin, pour le ramener dans sa cellule la nuit suivante. Pour quelle raison ? Peut-être s'était-il aperçu d'une substitution de l'enfant ou cela n'était-il qu'une répétition pour un futur enlèvement. Peu de monde auront cette réponse. Car le 27 juillet suivant, Robespierre sera renversé et son tour, par un certain Louchet, qui s’écria à la Convention : " Je demande le décret d’accusation contre Robespierre ! " Cette phrase sera prononcée à 16 heures. Robespierre qui avait institué une religion civique qui combattait l’athéisme, qui reconnaissait l’immortalité de l’âme et enseignait aux Français la haine de la tyrannie et l’amour de la justice ne bénéficiera pas beaucoup lui-même de cette même justice. En effet, le lendemain, en après-midi, Robespierre sera guillotiné place de la Révolution.
Robespierre ne sera pas le seul à s'intéresser au dauphin. En effet, Paul François Jean Nicolas, vicomte de Barras semble avoir participer à un épisode de la courte vie de Louis XVII.
Barras, celui-là même qui s'empara de la personne de Robespierre et qui mettra fin à la Terreur en tant que commandant de la force armée de Paris, se rendra à la cellule du dauphin le lendemain de sa prise au pouvoir en compagnie du docteur Bernard Nicolas Lorinet et de Goupilleau de Fontenay. Le docteur ne dira rien de l'enfant qu'il voit à ce moment là. Mais quelques jours après cette visite, il sera emprisonné pour six mois. Tant qu'à Fontenay, il avouera plus tard : "...l'enfant mort au temple...n'est pas le dauphin..."
Barras demande à un homme, Laurent, de veiller sur Louis XVII. Curieusement, celui-ci n'aère aucunement la cellule de son prisionnier durant trois semaines. Quelles sont ses intentions? A-t-il reçu des ordres de ne pas le faire afin de le rendre malade ou bien a-t-il découvert la véritable identité de son prisonnier?
On peut douter d'un éventuel échange à ce moment-là puisque ni Fontenay, ni Reverchon, ni le perruquier du dauphin ne remarqueront de substitution ou de changements majeurs en la personne du dauphin de France.
Il en est ainsi jusqu'au mois de mai 1795 où le docteur P.J. Desault, médecin-chef de l'Hôtel-Dieu, nous apprend que: "J'ai trouvé un enfant idiot, mourant, victime de la douleur la plus abjecte, de l'abandon le plus complet, un être abruti par les traitements les plus cruels et qu'il est impossible de rappeler à l'existence." Il prescrira un régime riche pour le petit dauphin. Ce régime effectue un petit miracle sur l'enfant, puisque celui-ci qui ne parlait plus depuis très longtemps retrouvera la parole le 31 mai. C'est sans doute ce qui provoqua la mort subite du bon docteur le même jour...
On le remplacera pour le Dr. Pelletan qui trouvera un enfant "plein de gaieté". Mais subitement, deux jours après, l'enfant a des coliques, des vomissements et des sueurs froides. Il mourra l'après-midi même. Est-ce des symptômes d'un empoisonnement ? Plusieurs le pensent.
Officiellement, le 8 juin 1795, signe la mort du petit Louis dont le seul crime aura été de naître sous le nom de Bourbon. Il aura été abandonné par des dirigeants plus intéressés à leur personne royale qu'au sort d'un enfant de 10 ans. Il serait mort de tuberculose . Ils ne pratiqueront l'autopsie que le lendemain.
QUESTION DE CHEVEUX
Lors de cette autopsie, le Dr. Pelletan gardera une mèche de cheveux de l'enfant du Temple. Il gardera également le coeur "royal".
Marie-Antoinette, avait gardé également une mèche de cheveux de son fils, bien caché dans une lettre retrouvée et gardée par Robespierre.
André Castelot dans un livre intitulé "LE MYSTERE DE LOUIS XVII" fera remarquer que les deux mèches de cheveux sont totalement différentes. Donc, selon lui, l'enfant mort au Temple N'ÉTAIT PAS le dauphin royal.
QUESTION DE TAILLE
Autre incohérence remarquable, les contemporains du petite dauphin sont d'accord pour dire qu'il n'était pas très grand pour son âge. Le 27 mars 1795, sa soeur remarque qu'il n'a presque pas grandi. C'est donc dire qu'il mesurait près de un (1) mètre. Or, lorsqu'on voulut lui fabriquer une tombe en juin, celle-ci mesurait 1 m 65. Belle croissance pour une enfant maltraité et mal nourri.
Une équipe d'archéologue parisien qui analysèrent les restes de l'enfant dans la tombe exhumée en arrivèrent à la conclusion que cet enfant avait environ 15 ans.
RUMEURS
Mais tout de suite, les rumeurs prennent forme. Le 12 juin, la "Gazette française" rapporte : "La mort du fils de Louis XVI a donné lieu à divers bruits, à une foule de fables plus absurdes les unes que les autres. Les uns prétendent que cette mort est un fait à plaisir, que le jeune enfant est plein de vie, qu'il y a très longtemps qu'il n'est plus au Temple et qu'une des principales conditions de la paix conclue avec la Prusse, les Chouans et les Vendéens était de confier ce jeune orphelin aux puissances étrangères. D'autres assurent au contraire qu'il y a plus d'un an qu'ils avaient la certitude que l'enfant était mort empoisonné. Le plus grand nombre des incrédules, cependant, reportent tout l'odieux d'un crime imaginaire sur le gouvernement."

Quelques années plus tard, des hommes n'hésitèrent pas à se prétendre le dauphin-roi survivant du Temple ou bien même, plus tard, son descendant. Nous pouvons nommer : Jean-Marie Hervagault, Mathurin Bruneau, Claude Perrin et Karl-Wilhem Naundorff. Ce dernier restera le plus crédible des prétendants se faisant même reconnaître par l'ancienne femme de chambre de Louis XVII, Madame Agathe de Rambaud. Il n'hésitera pas à amener en cours la duchesse d'Angoulême, désirant les biens de Louis XVII. On l'expulsera en Angleterre, puis aux Pays-Bas et pour finalement finir ses jours en Hollande, à Delft en 1845. Le gouvernement de ce pays n'hésitera pas à faire graver sur sa tombe ce qui suit : "Ci-gît Louis de Bourbon, Duc de Normandie." . Ses descendant saisiront en vain la justice française en 1851 et 1874.
Il est intéressant de constater qu'au début, tous les prétendants vivent en Europe. Mais plus tard, de nouveaux prétendus descendants se feront connaître à leur tour. Ces gens proviennent pourtant de très loin.
À l'époque une des rumeurs concernant l'enfant du Temple était que le jeune prince aurait été amené dans un lieu éloigné, très loin des intrigues de la cours. Un immense continent où il y avait un semblant de liberté et où, pensait-on, un enfant d'environ 10 ans pouvait passer inaperçu: l'Amérique.
Un article paru dans LE SOLEIL de l'année 1956 nous apprend ce qui suit :
IL Y A 25 ANS
DÉTROIT (1931) - Si l'on en croit Mme Marceline Buchanan-Gill, le dauphin de France qui devait être roi sous le nom de Louis XVII ne serait pas mort en prison, mais aurait émigré au Canada et aurait eu un fils qui fut élevé par John-C. Calhoun.
Nous avons donc deux théories concernant l'éventuelle venue de l'enfant-roi en Amérique.
Mais s'il n'était jamais venu ici et s'il était vraiment mort au Temple ?
LA MORT MYSTÉRIEUSE DE LOUIS XVII EST MAINTENANT ÉCLAIRCIE
SABINE GILLOT - AGENCE DE PRESSE FRANCE-PRESSE
PAYS-BAS - Louis XVII, le fils de Louis XVI et de Marie-Antoinette, est bien mort au Temple le 8 juin 1975 et Naundorff, l'horloger prussien qui a prétendu être le dauphin de France jusqu'à sa mort à Delft (Pays-Bas) en août 1845, n'était qu'un imposteur.
C'est à cette conclusion qu'est parvenu un chercheur néerlandais de 51 ans, Hans Petrie, qui a consacré dix ans de sa vie à écrire sur le sujet une thèse qu'il soutiendra devant l'Université de Groningue (nord) le 8 juin. Soit exactement 200 ans après l'annonce par le gouvernement révolutionnaire du décès du dauphin, alors âgé de 10 ans.
Pour fonder scientifiquement sa théorie, M. Petrie a voulu s'appuyer notamment sur une comparaison des codes ADN de Naundorff et la famille royale.
La conclusion finale de Petrie sera que l'enfant mort au Temple ÉTAIT RÉELLEMENT Louis XVII.
MATÉRIEL GÉNÉTIQUE

Obtenir le matériel génétique de la mairie de Delft, où Naundorff est enterré sous l'épitaphe "Ici repose Louis XVII, duc de Normandie, roi de France et de Navarre", fut selon M. Petrie "un jeu d'enfant".

Le corps de Naundorff avait déjà été exhumé en 1950 et des cheveux prélevés en vue de la dernière étape d'un procès intenté 100 ans plus tôt par les enfants du prétendant pour soutenir leurs droits à la succession au trône de France.

À l'époque, il ne s'agissait que d'une comparaison au microscope du tissu capilaire de Naundorff avec une mèche réputée provenir du dauphin.

Toutefois, l'analyse n'avait pas été probante et en 1954 les descendants de Naundorff avaient été déboutés de leur requête, mais autosisés à continuer de porter le nom de Bourbon, sans titre nobiliaire.

Hans Petrie ajoute qu'il n'a pas eu non plus de difficultés à obtenir du principal descendant de Naundorff, Charles-Louis de Bourbon (61 ans), agent immobilier résidant au Canada, son consentement pour exploiter les mèches du prétendant conservées à Delft

Celles-tu furent confiées en 1993 à un généticien de l'Université de Louvain (Belgique), le professeur Jean-Jacques Cassiman, qui isola le code ADN de Naundorff. Restait à comparer ce code à celui d'un membre de la famille royale française. Le Pr Cassiman réclamait des tissus de la lignée féminine de Louis XVII.

Devant la difficulté de rouvrir la tombe de Marie-Antoinette, M. Petrie partit à travers l'Europe à la recherche des restes des soeurs de la reine décapités.

C'est dans un couvent de Klagenfurt (Autriche) qu'il trouva la tombe de l'une d'entre elles, Marie-Anne. Cette fille aînée de l'impératrice Marie-Thérèse d'Autriche, possédait deux médaillons recelant des cheveux de ses soeurs, Johanna-Gabriella et Marie-Josèphe, aujourd'hui conservés par le couvent.

Le 3 mars dernier, les deux médaillons ont été ouverts et quelques cheveux prélevés par un bijoutier de Klagenfurt, en présence de la supérieure du couvent et d'un huissier. Selon le Pr Cassiman, l'analyse pourrait prendre "quelques semaines, voire quelques mois". Aussi M. Petrie risque-t-il de ne pas en connaître les résultats lors de la soutenance de sa thèse.

Cela ne trouble pas ce professeur néerlandais, qui a déclaré à l'AFP qu'il avait découvert de nouvelles preuves "irréfutables" que Louis XVII et Naundorff étaient bien deux personnes distinctes, dont il n'a toutefois pas voulu dévoiler la teneur.

Et si l'analyse ADN infirmait sa théorie ? "Cela me parait très invraisemblable, estime M. Petrie, mais alors je me réjouirais pour les descendants de Naundorff, qui attendent de cette expertise la preuve de leur origine royale".

LE SOLEIL 22/04/1995

N.B. : L'analyse ADN créditera la thèse de Hans Petrie, à savoir que l'enfant du temple ÉTAIT BIEN Louis XVII.

VÉRITABLE DESCENDANCE

Aujourd'hui, la famille Bourbon existe encore et un de ses descendants est Louis Alphonse de Bourbon, Duc d'Anjou, également connu sous le titre royal de LOUIS XX. Il est le successeur de la dixième génération de Louis XIV.

La famille possède leur propre site officiel :

http://www.royaute.org

Sous la chronique ACTUALITÉ (N° 2525 du 11 Décembre 1996) nous pouvons y lire un article très intéressant ayant pour thème : Déposition Solennelle du Coeur de Louis XVII.

Nous y apprenons, en autres que: "...en ce matin du mardi 8 juin 2004, de sept heures à dix heures du matin, autour et dans la basilique de Saint-Denis, plusieurs milliers de personnes se préparent. Ils sont là, avant le début des cérémonies, au rendez-vous de la « grande » heure de la journée où, dans la crypte des Bourbons, se vivra, à trois heures de l’après-midi, le dépôt du cœur d’un enfant, le petit Roi de France, Sa Majesté Louis XVII..."

Que : "...1975, le jeudi 10 avril : attestée par un procès-verbal établi l’année suivante, « une urne de cristal contenant le cœur de l’enfant mort au Temple le 8 juin 1795 » fut remise au duc de Bauffremont par Madame Massimo et l’une de ses sœurs, petites filles de don Carlos, duc de Madrid, dont la famille est apparentée à celle de la duchesse d’Angoulême, sœur aînée du dauphin..."

Également que : "...en décembre 1999, le duc de Bauffremont, entouré de médecins, de personnalités, en présence de Son Altesse Royale la prince Charles-Emmanuel de Bourbon Parme, déclara aux équipes de télévision, invitées dans la cathédrale de Saint-Denis à assister à l’événement, que « les merveilles de la science contemporaine allaient peut-être résoudre l’énigme ». L’urne de cristal fut confiée à un laboratoire d’analyses médicales, à Paris, qui préleva deux morceaux du cœur, plus précisément de ce qui restait du cœur. Deux laboratoires de renommée mondiale, en Belgique et en Allemagne, décidèrent de pratiquer des tests ADN.Ces recherches ne tardèrent pas à fournir la preuve qu’il s’agissait du cœur d’un enfant de Marie-Antoinette..."

Que :...en début d’après-midi (mardi 8 juin 2004), une cérémonie accompagna l’enfant du Temple jusqu’à sa dernière demeure, dans la crypte des Bourbons..."

Combien intéressantes sont les notes accompagnant cet article, au bas de l'article.

À savoir que : "...le dernier aumônier et confident de Louis XVI, l’Abbé Edgeworth de Firmont, considérait que le Roi était mort en authentique martyr chrétien. Pie VI , le dernier pape de l’histoire chrétienne avant le séisme de 1789, affirma que la cause de la mort du Roi était bien la haine de la religion catholique, comme l’ont rapporté les témoins des derniers instants de Louis XVI qui avaient admiré son esprit de foi et de courage..."

LOUIS XVII, UN SAINT ?

La famille Bourbon, nous apprend sur leur site officiel ce détail surprenant : "...plus tard, les historiens Paul et Pierrette Girault de Coursac reprirent le titre de « roi-martyr ». Mais la cause de béatification de Louis XVI ne fut jamais introduite au Saint-Siège à la Congrégation pour les Causes des Saints.Le très jeune âge de son fils Louis XVII lui permettra-t-il d’accéder un jour à l’héroïcité des vertus ? L’Église catholique autorisant la reconnaissance de l’héroïcité de vertus d’enfants, il faudrait alors reconnaître comme miraculeuse au moins une guérison attribuée à l'intercession du petit Roi, "martyr" lui aussi…..."

À SUIVRE....

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3 commentaires:

À 14 avril 2008 à 18:19 , Blogger Alain a dit...

Fascinant, cette histoire de descendants de la royauté française.

Ça me rappelle ce que Maurice Druon avait écrit dans "Les Rois Maudits". Un futur roi de France avait été échangé, alors qu'il était poupon, avec un autre bébé, lequel avait été empoisonné par Mahalt d'Artois afin d'assurer le Trône de France à sa fille mariée à Philippe V.

Ce roi avait été retracé, vivant à Sienne, en Italie où il avait été emmené.

 
À 15 avril 2008 à 11:05 , Blogger JOHNNY M-7 a dit...

Merci Alain de ce commentaire constructif.
J'ignorais ces détails.
Je ferai également une recherche sur ces allégations.

À SUIVRE...

 
À 17 juin 2019 à 06:20 , Blogger louis XVII a dit...

et oui Charles louis de Bourbon est bien le descendant de Louis XVII, les tests ADN l'ont prouvé Hasbourg et Bourbon, aujourd'hui nous avons les documents archives et attestations, quand a votre Louis XX allias Luis Alphonso Martinez -Bordiu qui est son vrai nom sur sa pièce d'identité et non Louis XX un surnom de clouwn, car il n'a aucun droit sur le trône de France, pour autant chacun a le droit de la savoir, l'Espagne a signer un document , une charte qui renonce tout les droit sur le trône de France " traité d'ultrech",

l'enfant mort au Temple n'est pas le dauphin celui qui est mort dans la cellule est Gonnault, bref l"enigme du Temple n'existe plus, les medias et historiens vous mentent depuis le début, cela dure depuis 226 ans, vous pouvez continuer a croire les Bourbon-Parme qui ceux de mêches ainsi que toute la clique,

 

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